Feuille d'Infos Juin 2016

“Si l'on y réfléchit bien, le Christ est le seul anarchiste qui ait vraiment réussi.”

A. Malraux

« Je préfère être un pur parmi les crados et un génie parmi les débiles plutôt qu’un impur et un salaud parmi les génies. Au moins, je suis le seul ! C’est le propre des grands esprits d’être modestes. Je suis l’anti-héro de la non élite ! Je suis Looping, Furtif 1er, roi de la pantomime expansive… »

Looping ! – Jusqu’à l’âge de 16 ans je voulais être pasteur, jusqu’à ce que je lise Kerouac.

Zooping ! – C’est pour cela que maintenant les groupes sont tes moutons ?

L ! – Non ! Les groupes sont mes idoles, ma bible, mes dieux ! Mes moutons ce sont mes lecteurs.

Z ! – Le R’n’R avait l’hystérie, désormais il a Looping la terreur…

L ! – Bientôt les filles reporteront des cheveux longs tressés, des tuniques multicolores et des pattes d’eph’ fluos !

Z ! - Quelle horreur ! Mon pire cauchemar après toi…

L ! – Grâce à mes chroniques même le plus nul des groupes a le succès des Beatles donc plus que Jésus Christ !

Z ! – Lire Looping et mourir crucifié ?

L ! – Je rends à la musique le mysticisme hippie. Mais je continue de coucher seul.

Z ! – Oui, sur le papier. Moi dans un lit.

L ! – Après la batwave, j’ai inventé le wunk, fils illégitime du funk et de la funkawe. J’ai chroniqué l’album Neon Lines d’un groupe de funk électro wave local Reality ; mes chroniques sont moins chiantes qu’une dissertation car il n’y pas d’idées… Faut bien rendre le disque alléchant

https://play.spotify.com/artist/2opuwofsDLHBDtgFWhayPm

Z ! – Encore un exercice de lèche dithyrambique ?

L ! – Alléger n’allèche pas du tout… Moi c’est l’hélice et l’hélitre, les litres, l’élytre (aile antérieure), pas l’élite ni les lithes ni les lices…. Les lys j'ai rien contre s'ils sont blancs et pas sur fond bleu royaux!

Z ! – Tu me dis souvent que tu te considères comme une sardine à l'huile ?
L ! – Oui, je suis comme ces animaux de compagnie particulièrement recommandés aux personnes qui aiment avoir un poisson rouge, mais qui ne supportent pas de le voir seul dans son Bokal. Face à l’abstraction de la musique, je suis libre de créer mes propres images mentales, de me faire mon propre cinéma et c’est pour cela que j’écris. Je n’aime pas chroniquer ni l’écrit ni les images animées, seulement la musique parce qu’en la décrivant, c’est moi qui écris. Je vis hors du temps, je ne m’intéresse pas à l’histoire car je ne veux pas regarder en arrière et, comme dirait l’autre, ne sachant pas de quoi l’avenir est fait je veux vivre le moment présent. Je suis un exilé intemporel qui n’a pas de corps.

Diagnostique

Dysmorphobie : Angoisse immotivée liée à l'exagération d'un défaut d'apparence physique ou d'un simple caractère individuel considéré comme un défaut par le patient.

Pendant ce temps, ailleurs, dans de minuscules villages, existent / résistent d’irréductibles lieux de vie, espaces autogérés, ZAD, sites d’écotourisme, bases nomades, squatts, collectifs, communautés…

https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=zCUrDZ_sv7Fw.k9HCrqv3hIVA&hl=fr&usp=sharing

Super patate ! Découvert grâce au Facebook des Garage Lopez, The Lizards est un bon groupe de R’n’R féminin (le batteur est néanmoins un mec, comme chez Les Garçons de Lyon) qui envoie sévère, lignée Joan Jett et ses Runaways ou carrément Scattergun ! Je vous laisse juger, on peut écouter l’album en entier, trop bien : http://www.thelizardsmusic.com/

ZOOP ! ALTERNATIV’ZINE : LE RETOUR !

280 pages A4 avec une superbe couverture sérigraphiée par ZZ Toff de Peace & Noiz’ !

SOMMAIRE : Fred Alpi & The Angry Cats / BB Coyotte / Editions Rytrut / Les Fables du Pistile / Dim / Alex Bianchi / Deviance Records / Ataraxia / The Clash… Dossiers : Contre-Culture et Anti-Psychiatrie / Innovation Sociale et Émancipation Collective / Dix ans de Luttes Zapatistes au Chiapas / Contre la Mort Nucléaire : Solidarité avec les Rebelles / Liberté pour Christine Ribailly / Les Banksters : Rapaces à effet de Serre / TTIP Un doc qui fâche ! / Panama Papers / Simulacre du Paradoxe / Fragments de vies / Colonnes d’expression… Tranches de vie : Textes personnels + ++ chroniques & contacts à gogo. Artworks : Ludo G., Franz No, Gil, Flow & Kadavéric

La Rétive

Pour faire vivre des idées d’émancipation sociale et participer à la subversion de ce monde ….

La Rétive est une bibliothèque/médiathèque et un lieu de rencontres et d’échanges. Située à Alès au 42 faubourg d’Auvergne, elle est gratuite et accessible à toutes et tous. Les permanences se font les mercredis et samedis de 14 h à 19 h.

C’est un espace pour faire vivre des idées d’émancipation sociale et contribuer à la subversion des rapports sociaux. On y partage des informations et des regards critiques sur ce monde et les luttes qui en émergent.

On s’y rend pour emprunter un bouquin, une revue, une bande dessinée, un film… Elle est ouverte les mercredis et samedis après-midi, pour y lire sur place, consulter archives, journaux, brochures… ou pour repartir avec quelques ouvrages choisis. Elle dispose d’un fond composé de théorie critique, d’histoire, de philosophie politique, de différentes sciences sociales ainsi que de romans, polards, SF, livres pour enfants…

On s’y retrouve pour voir un film, participer à une discussion, un repas… Régulièrement la Rétive propose des projections, des débats autour de livres, de sujets spécifiques. Elle accueille aussi des initiatives d’autres collectifs ou d’individus. Des réunions se tiennent tous les mois où quiconque peut venir pour participer à l’organisation du lieu ou proposer des activités. Les décisions sont prises après discussion et recherche d’un accord commun. Le fonctionnement est collectif et sans hiérarchie.

La Rétive 42, rue du Faubourg d’Auvergne 30 100 Alès

laretive@riseup.net https://laretive.info/

Mieux vaut une vieille serpillère rebelle avec un bon Q.I. qu’une belle serviette de bain servile et décérébrée…

Une certaine forme d’antifascisme n’est en fait rien d’autre qu’une scène culturelle, un milieu avec une identité communautaire tel que les années 80/90’s ont tant su en produire : Skaters, gothiques, fans de jeux-vidéos, traders, satanistes, technophiles, new-borns, ravers, baby-boomers, véliplanchistes et je ne sais quoi d’autre encore. L’autoproclamé antifascisme est aujourd’hui devenu, comme tous ceux cités avant, un vulgaire mode de consommation collectif et éphémère. L’on est antifasciste quelques années avant de devenir trader ou mécanicien. Parfois on le reste éternellement comme d’autres dédient leurs vies à Michael Jackson, à leur collection de boite d’allumettes ou à leur travail.

Tout d’abord le code vestimentaire, du lacet au caleçon, il y a les marques conseillées et les marques bannies – le plus souvent parce qu’elles sont déjà réservées par la communauté opposée : les néo-fascistes - le gang adverse de celui des néo-antifascistes, vous suivez ? Ensuite il y a le lien social : les fêtes, les bars, squats et salles de concert attitrés, tout autant d’occasions d’éprouver son style et son charisme au devant de l’altérité intra-communautaire. Aussi la musique officielle et les allégeances collectives aux divers outils de la domestication tels que les syndicats ; l’antifasciste va choisir tel ou tel syndicat - celui que son identité communautaire lui suggère - de la même manière qu’un nationaliste corse au supermarché va choisir un fromage corse parmi une centaine d’autres. Puis une bonne dose de mythomanie, de mythologie et de peoplisation à propos des affrontements de rue avec l’ennemi fantasmé tentaculaire afin de justifier l’antifascisme au-delà de son obsolescence manifeste. Non Fides

ActionAid propose un site intéressant sur lequel sont présentés des portraits de femmes de différents pays (Sénégal, Bangladesh, Inde…) qui se battent quotidiennement pour que leur condition évolue. Emouvantes et courageuses, vous êtes invités à faire un geste pour les soutenir dans leurs démarches respectives : http://1jourdesfemmes.org/

Musique

SWANS (USA) “We Rose From Your Bed With The Sun In Our Head”

Ami-e-s de la monotonie, bien le bonsoir ! Les new yorkais Swans nous ont posé là un album arythmique, ambiant et industriel comme jamais, enregistré lors de leur tournée de reformation en 2010 – les prises de son ont principalement été effectuées à Melbourne mais aussi à New York et à Berlin – ce double CD rappellera à toutes celles et tous ceux qui ont alors eu la chance de voir la nouvelle incarnation du groupe de Michael Gira sur scène combien les Swans version troisième millénaire avaient su créer la surprise. Le début du disque s’inscrit dans l’esprit Current 93 ou encore Nurse With Wounds, E. Neubauten… L’enregistrement est assez brut et non retravaillé : cela s’entend très bien au niveau de la voix de Gira qui, bien qu’étant un front man d’exception, est par contre loin d’être un chanteur techniquement irréprochable en concert. On pense à nos regrettés Deity Guns, Condense et Bastärds nationaux sur les différentes plages de noise redondante, la voix n’y étant pas pour rien et les arrangements (ou devrais je dire tritouillages ?) étrangement similaires. On ne peut s’empêcher d’évoquer Sonic Youth en encore plus sombre et tout aussi barré. Āmes sensibles s’abstenir, comme toujours avec ce groupe tout à fait à part ; deux heures de suffocation et dissections / expérimentations bruitistes gratuites au programme : https://www.youtube.com/watch?v=ny8mvgisGV8

SUSPIRIA (USA): “Darkwell” CD (Napalm Records America)

Encore un groupe de métal gothique bien au point emmené par une chanteuse à la voix magnifique, soutenue par des passages en alternance avec une voix de mec plus rauque et caverneuse, dans la tradition du genre. Un superbe album, très mélodique qui compte comme tube potentiel le titre éponyme, beau à pleurer, ou encore « Realm of Darkness », avec ses grandes orgues et ses riffs puissants. Dix titres vraiment bien foutus ! Un très bon début pour ce groupe que je suppose ricain dont on attend la suite avec impatience.

Napalm Records Po Box 382, Bremerton, WA 98 337, U.S.A. E-mail : napalm@silverlink.net

MOSSURAYA (CH) : “S/T” CD (Autoprod.)

Groupe genevois complètement barré, lignée John Zorn / Naked City qui a une pêche pas possible et qui vivait à l’époque au squatt d’Alésia. Avec des tempos parfois ultra-soutenus et d’autres plus saccadés, des voix qui braillent et une guitare à la Nomeansno, c’est parfois à la limite du supportable, mais marrant. Les morceaux sont cependant variés, avec une pléthore d’instruments différents. Arrivé à la fin du disque, on souffle enfin et on est content de passer à autre chose !!! Idéal pour faire chier les voisins, Mossuraya est un total délire en concert ! De quoi ravir les fans de musique expérimentale et autres sonorités inqualifiables … Je les ai connus alors qu’ils tournaient dans les squatts mais je ne pense pas que le groupe existe encore mais je file tout de même le contact à tout hasard : Usine 4,Place des Volontaires CH – 1204 Genève – Suisse E-mail : alesia666@voila.fr ou hellyeahyo@hotmail.com

OHGR : "Wel.T" CD (Active)

Ohgr est un groupe de musique électronique à tendance industrielle et abrasive formée en 2000 par Nivek Ogre et Skynny Puppy et Mark Walk. Ce projet est cependant nettement mois dur et barré que les susnommés au pedigree imposant. Dès le premier morceau on pense à Marylin Manson ; même genre de voix trafiquée, de sonorités de guitares saturées, loops et samples redondants et on garde cette impression un peu dérangeante au fil de l’album, certains titres s’approchant plus de Nine Inch Nails, ou encore de Project Pitchfork et c’est bien dans le même registre qu’Ohgr s’inscrit. Un bon disque, varié, riche en sonorités et trouvailles diverses qui vous fera passer un bon moment. https://fr-fr.facebook.com/ohGrOfficial/

NOBODY (I) “News From Nowhere” CD (World Serpent)

Aussi noir et profondément désespéré que son prédécesseur, News From Nowhere délivre avec douceur et nonchalance ses plaintes acoustiques et langoureuses. Cet album livre un ensemble de longues complaintes mornes et mélancoliques style David Tibet et ne manquera pas de vous procurer au mieux des frisons dans le dos, au pire une irrésistible envie de vous noyer dans l’alcool ! Ambiance fin de siècle…

KOMPTOIR CHAOS (F) : “Seconde Génération” (Ronce Rec.)

Nouvel album produit avec l’aide de différents labels et distros à l’initiative de Ronce Records. Komptoir Chaos s’affirme de façon indélébile dans la paysage chaos punk français avec ses treize titres en forme de décharges de Kalashnikov. De l’avis de tous, c’est ce qu’ils ont fait de mieux à ce jour, certains titres étant plus rageurs et d’autres plutôt street-punk, la pêche restant le moteur de ce groupe des Vosges qui sait entretenir l’esprit de la seconde vague punk des années 80’s, encore plus brutale et frontale que leurs grands frères. Dispo en LP ou CD 12€/10€ + port à notre adresse et livré avec plein d’infos. Klak !

EYE (Aus): "Politics can be Fun" CD (Blatant Propaganda)

Eye est une émanation du collectif militant australien Blatant Propaganda engagé contre les excès des firmes pharmaceutiques, en faveur de la santé et de l’environnement et plus généralement contre les firmes multinationales. Cela commence par un morceau new wave répétitive entre Kraftwerk et Daft Punk assez dansant et disco synthétique. Ça sent la dérision d’entrée. On reste dans le registre Culture Club en plus froid et martial par la suite, avant d’évoluer dans des registres nettement plus électro dark ou industriel, bourré de voix off, de loops, samples et triturations minimalistes. Un disque intéressant, varié, militant avec lequel on ne s’ennuie pas une seconde durant les trois quart d’heures. Je ne connais pas grand-chose de la vie politique en Australie mais ils sont visiblement très remontés contre leurs dirigeants… www.teknet.net.au/-eye eye@canberra.teknet.net.au robotcitizen101@gmail.com http://www.blatantpropaganda.org/eye/ Dans les sorties beaucoup plus récentes, allez jetez une oreille à cette excellente compil : Propaganda Machine Volume 1 : https://eyenoise.bandcamp.com/releases Vous m’en direz des nouvelles !!!

ZEROMANCER (G) :"The Death of Romance" (Trisol)

Les norvégiens pionniers du métal / électro / indus ont le don pour nous pondre des tubes percutants et entrainants. On se souvient de l’excellentissime « Doctor Online », et de « Sinners International », album inépuisable. Là, ils en remettent une couche toujours dans le même registre avec « The Death of Romance » qui suit un tout aussi bon EP qui nous en avait mis plein les noreilles : « It Sounds like Love (but it Looks like Sex) », la formule mixant techniques actuelles et influences années 80 (on trouve même une reprise d’un des tout premiers Depeche Mode, « Photographic »). Ça donne et leur son est définitivement excellent, ce qui n’empêche une ambiance globale de désenchantement. Six ans après le projet Seigmen (brièvement reformé en 2005), quatre albums au compteur et après avoir atteint son apogée lors d’un live mythique dans le nouvel Opéra d’Oslo (premier groupe rock a jamais avoir fait cela) Kim Ljung (tête pensante) est également initiateur du projet parallèle Ljungblut. Mixé par Alex Macklebust, ce disque est définitivement celui de la consécration, et selon Kim, le sentiment partagé qu’on ressent s’explique en ces termes : « sur le plan personnel, il est d’innombrables moments de cœur brisé et de romance, enfouis. Ces expériences restent en moi, comme des épines qui traverseraient le cœur. Il y a à peine une chanson écrite par moi, sur cet album, qui ne contient pas cette douleur là. Tu sais, quand tu écris des morceaux en un laps de temps aussi court, tu es un peu comme à l’intérieur d’une bulle. Puis le temps d’incubation se termine, la bulle explose et l’album est fini. Et il faut encore un moment pour qu’il se "révèle" à toi, je crois… Ça vient plus tard". Par contre, croyez-moi, dès la première écoute l’effet est immédiat.www.myspace.com/zeromancerzentral www.zeromancer.com

Lecture

Histoire de la Sexualité, Tome 2 : L’usage des Plaisirs, Michel Foucault, Gallimard, 1984, 285p.

Le livre se consacre essentiellement à l’étude de la pratique dans la pensée grecque classique, certains passages, notamment sur l’économie, le médical ou la diététique de la chose chez Aristote, Diogène, Platon ou Xénophon ne manquent pas de piquant, le sperme étant par exemple secréter par le cerveau pour descendre là où vous savez, ou encore quand ils nous expliquent en quoi en abuser serait dangereux pour la santé et l’équilibre, pour ne pas parler des vertus de sa fonction procréatrice (à lire pour ceux qui veulent réussir leur progéniture ; c’est très instructif !)… L’acte sexuel n’était certainement pas perçu par les grecs comme un mal, il n’était pas pour eux l’objet d’une disqualification éthique. Mais les textes témoignent d’une inquiétude sur cette activité, et elle tourne autour de trois foyers : la forme même de l’acte, le coût qu’il entraine (vidant les acteurs de leur énergie, et donc proscrit chez les athlètes !) et la mort à laquelle il est lié. La réflexion médicale et philosophique le décrit comme menaçant, par sa violence, le contrôle et la maîtrise qu’il convient d’exercer sur soi ; comme minant par l’épuisement qu’il provoque la force que l’individu doit conserver et maintenir, et comme marquant la mortalité de l’individu tout en assurant la survie de l’espèce. Si les grands penseurs de l’antiquité y ont cependant autant réfléchi, c’est probablement parce que c’était un loisir très pratiqué, comme on le sait… Dans Gorgias et dans La République, Platon invitait chacun, pour être heureux, à rechercher la tempérance et à s’y exercer. Il s’agit donc, en toutes choses, de modérer nos plaisir de la nourriture, de la boisson et bien sûr de la chair, de refréner nos passions et de maîtriser nos pulsions pour accéder au bonheur. Il lie la tempérance et la beauté de l’âme et montre inversement combien sont incompatibles l’éclat d’une âme et d’un corps avec les excès et la violence des plaisirs. « Si un homme réunit à la fois un beau caractère dans son âme et dans son extérieur des traits qui s’accordent et s’ajustent à son caractère, parce qu’ils participent du même modèle, n’est ce pas la plus beau des spectacles pour qui peut le voir ? »

ADHESION BOKAL : 15€ / an

Vous recevrez le catalogue de VPC et ses additifs réguliers + infos mensuelles et, au choix, le CD du Complexe de Peter Pan (Rock alternatif, lignée D.I.Y.) ou celui de M. Orange (Chanson décalée et poétique) ou ce que voudras… ( - ;