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Le blog de l'infokiosk Bokal Musiques / alternatif / libertaire / D.I.Y. / Punk / Rock / Garage / Pop / Hardcore / Electro / Gothic / Noise / Dark / Industriel / Expérimental / Disques / contre-courant / Livres / Fanzines / Hors normes / Indépendant / Autoproduits

RECITS / ROMANS / LITTERATURE

Zoop

 AVOIR VINGT ANS À BOGOTÁ Photographies et texte de Philippe Revelli, 98p., Ed. Alternatives Avoir vingt ans à Bogotá, c’est lorsqu’on a de la chance, habiter le quartier nord ou les quartiers des classes moyennes, aller à l’université, posséder, depuis qu’on a 18 ans, un  téléphone portable et une voiture. Mais pour la majorité des jeunes, c’est vivre au sud de la capitale, à Ciudad Bolivar. Un dortoir de pauvres, deux millions d’habitants. Survivre, là est l’unique préoccupation. mais qu’on soit d’ici ou d’ailleurs, avoir 20 ans à Bogotá c’est se trouver confronté quotidiennement à la violence, une violence endémique et multiforme qui n’a, au pays des narcotrafiquants et des paramilitaires, du plan Colombia et de la guérilla, que trop d’occasions de s’exprimer.

Une réalité difficile à laquelle, pourtant, il ne faudrait pas réduire la Colombie, pays de Marquez et de Botero, de cyclistes et de footballeurs, de musiciens, de danseurs et de cinéastes... 12,5€


CASSE DÉPART Une Pièce de Théâtre à Jour dans les Bars Christophe Pagnon, Coll. A Couteaux Tirés, Format Esprit Frappeur, 48p. L'insomniaque.
"Lino. J'aime pas quand tu te fais liquide. Ulysse. On change pas de rêves comme de godasses ! C'est une matière qui se travaille, qu'on amène à sa pointure. Mais toi, non. Toi, c'est toujours pareil, dès que ça coince, tu déchausses. Tu cales. Et tu redémarres aussitôt, propulsé par le premier bla-bla venu. Un acharné du je recommence. Rose.

Talking to me ? You are talking "bla-bla" to me ? Et si c'était le bruit de mon moteur à moi, bla bla ? Et si j'avais besoin que ça caquette, que ça papote, que ça brasse de l'air chaud ? Bla-bla, ça vaut Khurtzak. On a les utopies qu'on peut, qu'on balance devant soi et qui nous tirent de l'ordinaire... Le bavardage c'est ma loco. Je suis locomotive bla-bla sur les rails de l'imaginaire-travelling !" 3€


CHRONIQUES D'UN SALE TEMPS Recueil de Zoize sur le ton d'un roman philoso­phique.

Extrait : " Noir est le néant. Rouge est le jeu. 14 destins malmenés par les mystères de l'univers... Du rire, des larmes et des coeurs qui palpitent. Faîtes le silence autour de vous et plongez... Les animaux débouchaient de toutes les ruelles et ils envahissaient chaque espace libre. Cela meu­glait, bêlait, grognait, coquelait, gloussait et piail­lait dans un capharnaüm incommensurable mais ce n'était point des bêtes ordinaires." 152 p qui se lisent d'une traite 5€


DISCOURS SUR LE FILS-DE-PUTE Alberto Pimenta, L'insomniaque, 48p.
"Le fils-de-pute existe. Partout, sauf dans le dictionnaire. Dans le dictionnaire, il existe nombre de fils, parmi lesquels le fils de famille, le beaux-fils, le fils de ses oeuvres, mais le fils-de-pute n'existe pas. En revanche, partout ailleurs, le fils-de-pute existe bel et bien." Quand un poète portugais porté sur le dadaïsme se penche sur la servitude volontaire au XX° siècle
4,50€


DU PASSE FAISONS TABLE RASE Thierry Jonquet. Préface de Hervé Delouche (Coll. Furies, Ed. Dagorno, 248p.)
"Un roman étonnant qui fera parler ou bien fera taire. Les fondateurs du néo-polar et leurs suiveurs avaient eu plaisir à romancer des anecdotes politico-criminelles. Dans Du Passé Faisons Table Rase, les anecdotes politico-criminelles sont le point de départ d'une peinture de milieu très inouïe, qui prend pour cible le PCF et qui le canarde avec une férocité sau­vage étonnante. La dynamite est dans le sujet, dans la sauvagerie vengeresse du documentaire. Et ainsi, même sur l'insignifiant terrain du polar, les staliniens récoltent ce qu'ils avaient enterré : l'agit-prop dévastatrice, et ce pseudonyme qui fut peut-être le vrai nom de leur plus célèbre assassin." J.P. Manchette.
12€


EXHIBITION, Michka Assayas, L'Arpenteur, 307 p.
« Partout, les gens exhibaient leurs plaies mentales devant des inconnus. Ils exhibaient leur viol par leur père, leur homosexualité mal vécue à l'E.D.F., leur humiliation d'être trop gros, leur douleur de n'être pas remarqué, leur douleur d'être trop remarqué, leur stress après une victoire, leur stress après une défaite, leur harcèlement au travail, leur harcèlement au chômage. Tous exhibaient leur souffrance, tous faisaient pour ainsi dire la queue pour exhiber leur souffrance, parce qu'ils attendaient tous de l'exhibition de celle-ci une compensation à cette souffrance, l'exhibition constituant en somme le remède miracle, l'arme absolue contre la souffrance, un mal contre lequel l'argent et les loisirs organisés ne pouvaient rien, bien au contraire. »  Exhibition de Michka Assayas a été récompensé par le Prix Le Figaro Magazine Fouquet's 2002 et par le Prix des Deux-Magots 2003. 15

 

GUERILLA ÉPISTOLAIRE Un anonyme de la fin du XXème siècle, Coll. A Couteaux Tirés, Format Esprit Frappeur, 94p. L'insomniaque.

Extrait : "Paris, le 4/07/86. Ceux qui, sur les rives de l'Hudson, célèbrent la "liberté" savent-ils au moins distingue le con d'une jeune fille fraîche du trou du cul d'un vieux président ?" Zazie

L'anonyme de la fin du XXème siècle sévit apparemment en Occident depuis quinze ans ou davantage. Ce polygraphe bourgeonnant d'hétéronymes dénonce sans répit, mais non sans verve, la dictature qu'exerce l'économie sur tous les aspects de l'existence humaine. Du même auteur chez le même éditeur : "Et ce monde qui dure..." 3€


HIROSHIMA, FLEUR D'ÉTÉ Tamiki Hara, Éd. Dagorno, 108p.
6 Août 1945 : Tamiki Hara, jeune écrivain, pensait fleurir la tombe de sa femme récemment disparue en ce jour d'enfer Bouddhique (qui n'eut rien à envier à celui de Dante). Se trou­vant aux toilettes au moment de l'explosion, le poète survécut. Il laissera un des grands documents sur cette scandaleuse plongée dans l'horreur. Son oeuvre trouvera sa place aux côtés de celle de Primo Lévi et de quelques autres témoins des monstruosités de ce siècle. Dans un dernier cri de protestation, T. Hara se jettera sous un train en 1951. Les trois nouvelles de ce recueil (Prélude à la Destruction, Fleurs d'Été et Ruines ) décrivent la tragédie d'Hiroshima : avant, pendant et après le drame.
10€


IBRAHIM LANCELOT Freddie Lafargue, Coll. Furies, Ed. Dagorno, 179p.
Ibrahim Lancelot ne devrait plus entendre "le bruit sourd du pays qu'on enchaîne". Les nouveaux maîtres l'ont enfermé à Chastelmort, là-bas dans le Grand Nord, où Narcopsys et ingénieurs des âmes ont voulu le réduire à néant. Mais voilà, tant qu'un homme n'est pas mort et enterré, le feu continue de couver sous la cendre, et malheur aux traîtres qui se mettent en travers de sa route. Dans un futur suffisamment proche de nous pour qu'il soit possible, les chevaliers de la Table Ronde ressortent de l'enfer et repartent en quête du Génie Rayonnant de l'Action Libératrice - autrement dit du Graal. C'est la guerre.
11€

 

LA DERIVE DES SENTIMENTS, Yves Simon, Grasset, 263 p. Prix Médicis 1991
Qu'en est-il de nos passions ? Dans ce roman courent les bruits de notre monde, avec ses fractures, ses drames, ses éruptions de liberté. On y entend surtout l'amoureuse mélodie de Marianne et de Simon, deux êtres qui essaient d'inventer une passion inusable. Armé d'étranges blessures qui lui tiennent lieu de mémoire, Simon le rêveur aime les villes au crépuscule. Marianne, elle, voudrait retrouver le goût des sentiments solennels et immobiles. Mais leurs sentiments, comme les continents, dérivent... On rencontrera aussi le mystérieux Kaspar Georges Becker (K.G.B.) en train d'écrire un roman que traversent les convulsions de l'ancienne Europe ; et encore Madame Dior en concierge excentrique, Rosa la fragile, Marcella, Lucien le petit garçon qui croit aux miracles et attend les cygnes sauvages - personnages réels ou fictifs qui s'essaient à la traversée des miroirs.
Ce roman est une variation mélancolique sur la création littéraire, où le narrateur veut croire que les histoires qu'il imagine pourront transformer la vie et les êtres qui la traversent. Couverture un peu usée par le transport lors de sa lecture. Perso, j'ai adoré ! 10

LA JOUE DU ROI suivi de Vomitif, A. H. Benotman, L'insomniaque, 128p.
Théâtre. "La Joue du Roi" met en scène la justice, la vraie ! Celle qui nous rend tous égaux : la mort dont le masque est celui de Notre-Dame-de-la-Peste. Vomitif : le drame, c'est, peut-être, survivre à la tragédie ! Vivre quand la mort prend les raisons de vivre. Finir son existence dans la peau d'une Andromaque vieillie, les plis de la bouche durs, amers... Voilà le masque du drame lorsque l'héroïne reste, amputée du meilleur d'elle même, insuicidée.

Abd-el-Hafed Benotman, comédien et animateur de radio, a écrit "Les Forcenés" (Ed. Rivage Noir, 2000) ainsi que deux pièces de théâtre, La Pension et Mr Toz, qui ont été mises en scène. 8€


LA LÉGENDE DU GRAND INQUISITEUR Fiodor Dostoïevski,

Format Esprit Frappeur, L'insomniaque, 96p.
Extrait : "D'autres, faibles mais déchaînés, s'égorgeront mutuellement. D'autres encore, foule lâche et misérable, se traîneront à nos pieds en criant : Sauvez-nous de nous-mêmes !" Les divagations prémonitoires de Dostoïevski, avec une brillante postface de Maximilien Rubel. 3€


LE GENRE DE CHOSES QUI ARRIVENT EN FRANCE Ret Marut (alias B. Traven),

Format Esprit Frappeur, 62p., L'insomniaque.
Extrait : "Un brave Soldat de France s'était couvert de gloire en accomplissant un acte de courage tel qu'on n'en avait jamais encore vu d'exemple dans les annales de l'histoire... Il était parvenu, à lui tout seul, à capturer trois cent soixante-deux hommes de troupe et dix-neuf officiers, parmi lesquels deux généraux de brigade." Le bourrage de crâne vu par un maître de l'ironie, avec cinq autres fabliaux. 3€

 

LES QUATRE DOULEURS M.F. Farzaneh, L'Insomniaque, 258 p., 1998
Selon les moeurs exégètes, la littérature persane accède à la modernité en 1921, l'année même où la révolution bolchévique, en réprimant les insurgés de Cronstadt, anéantit les espoirs d'une révolution mondiale. Si le pays qu'on va bientôt appeler l'Iran est limitrophe de cette Russie qui a été naguère l'un des phares de l'avant-garde artistique, il lui est immensément distant dans le temps et émerge à peine des ténèbres du Moyen Age et, dans le domaine littéraire comme ailleurs, le retard est considérable. Cependant, en à peine quinze ans, grâce à des auteurs comme Djamal Zadé et Sadegh Hedayat, seront inventés, recréés et revécus, entre autres genres, le roman réaliste, le récit satirique et la plongée éperdue dans le surréel, exactement comme si l'on passait de Balzac à Kafka en moins d'une génération. Toutes ces tentatives se déroulaient bien sûr dans un climat d'incompréhension absolue, de vide intellectuel et critique total, qui ont sans doute favorisé la nécessité, pour les rares porteurs d'exigences nouvelles, d'une radicalisation de leurs recherches. Dans de telles conditions, il n'est guère étonnant que, lorsqu'à peine âgé de vingt ans, M.F. Farzaneh, ami et disciple d'Hedayat, se met à écrire son premier roman en 1949, il ait comme spontanément assimilé toutes les avancées formelles qui ont bouleversé l'écriture romanesque en Occident dans la première moitié du siècle. Dans la lignée de Joyce et de Faulkner, il nous livre alors avec ces quatre douleurs, quatre monologues intérieurs où la révolte contre l'absurdité du pouvoir et contre la misère se conjugue avec les exigences imprescriptibles du désir. Et il est encore moins étonnant que l'auteur et sonlivre restent à ce jour bannis en leur pays.
10


LE VAMPIRE DU SQUARE COURTELINE Clément Maraud, Format Esprit Frappeur, 92p. L'insomniaque.
Extrait : "Au matin, sûre de n'avoir pas rêvé, elle savait que leur pseudo-locataire n'était qu'un habile vampire, assoiffé du sang des bourgeois..."

Allégorie relatant les rapports oniriques entre des propriétaires et leur locataire, lequel riposte à la cannibalisation par la vampirisation. 3€


MARIE-LUCE BRUYERE Ou la vie d’un étudiant libanais en France, Georges Saad, A.C.L., 140p.
« On dit aussi qu’ils sont consciencieux, et cela est vrai en grande partie. En tous cas rouspéter, même sans changer les choses radicalement, c’est mieux que de ne rien faire, mieux que la passivité. C’est, je dirais, le premier acte révolutionnaire indispensable. Bien sûr, si ça râle toute la journée, tous les jours, tout le temps sans l’action, ça devient lassant, ennuyeux, et ça finit par devenir anti-révolutionnaire…. Marie fait partie des premiers, les bons râleurs. Elle a dit une seule fois « je suis crevée » et elle est tout de suite passée à autre chose. Elle m’a embrassé comme on ne m’avait jamais embrassé, cette douceur qui se dégageait de ses lèvres ! Une chaleur m’envahissait. Non, non, non ! On ne fait pas l’amour à cette heure-ci, m’a-t-elle dit. C’est vrai, chaque chose en son temps au pays de Robespierre, me disait Basem. » Georges Saad est enseignant à la faculté de droit de l’université libanaise et à la filière francophone de droit, spécialisée en droit public et auteur d’un bon lot de bouquin, car également poète, romancier et traducteur en arabe de divers ouvrages, dont certains en disent long, comme « La Poètique de la Rêverie » de Gaston Bachelard, « Qu'est-ce que la Philosophie ? » de Guattari ou encore du fameux «L’anarchisme » de Daniel Guérin. Marie-Luce Bruyère est son premier roman en français. 10€


SONNETS SIMPLES  de Livron, Coll. A Couteaux Tirés, Ed. L'insomniaque, Petit Format, 48p.
"Vous les cassedos de l'âme, les chieurs de gaudez, Brelandiers de la pénitence, bitous d'encensoir, attrape-mal'heur, gros benêts dérisoires. Comment pouvez-vous à Dieu vous referez ? Vous les canailles de sanc­tuaires, trompenez, armuriers de chapelles, vils extorteurs à croyre. En quoi Dieu peult'il estre encore le miroir de vos égarements où partout persistez ? Jamais il n'a, à de tels re­présentants, délégué un peu de son noble en­tendement. Admettons que n'y a rien d'aultre qu'argutie, que la révélation fut faite par des ruseurs. Assemblez aussi-tost en grande truanderie, attentifs seulement à faire leur bonheur." 3€

 

UNE FORME DE GUERRE Iain M. Banks, Ailleurs et Demain, 475p.

 est un Métamorphe, un des derniers survivants de cette variété de l'espèce humaine qui peut modifier sa forme à sa guise. Et il est engagé dans une croisade personnelle contre la Culture. Son combat, comme celui de Balveda, l'envoyée de la section Circonstances Spéciales de la Culture, n'est qu'une escarmouche insignifiante sur la toile de fond de la guerre qui oppose la Culture et les Idirans. Une guerre qui embrase la Galaxie. Une guerre inexpiable comme toute guerre de religion. Une guerre où aucun compromis n'est possible, qui se soldera par la victoire d'un seul camp. Celui des Idirans qui veulent soumettre à leur divinité tous les peuples de la galaxie. Ou bien celui de la Culture qui est parfaitement tolérant et qui, à ce titre, ne peut accepter aucune tolérance. Comme dans L'Usage des Armes et l'Homme des Jeux, Banks décrit ici une immense société galactique, complexe, rusée, bigarrée, baroque et attachante, qui a sa place dans les annales de l'Histoire du Futur près de Dune et d'Hypérion. 15


 

Les chroniques de Krondor-Fantasy (Editions de la Reine Noire)


Vol I : Pug, L'apprenti. Raymond E. Feist (500p.)
Des forêts côtières du Royaume des Iles, Pug l'orphelin vient étudier avec le maître mage Kulgan. Mais bien que son courage lui vaille la reconnaissance de la cour ainsi que le coeur d'une adorable princesse, l'approche traditionnelle de la magie ne le satisfait pas. Pourtant, l'étrange pratique de la magie de Pug changera un jour et à jamais les destinées de deux mondes. Car de sombres entités d'un monde reculé au-délà du temps et de l'espace ont ouvert une faille dans la matière même de la réalité, suscitant à nouveau l'antique affrontement entre les forces de l'ordre et du chaos.14€

 

Vol. II : Le Mage. Raymond E. Feist (500p.)
Quatre ans se sont écoulés. La guerre fait toujours rage. Capturé au tout début de la guerre, par le clan Shinzawai, celui qui autrefois répondait au nom de Pug apprend à vivre dans les marais d'outre-monde. D'esclave à la merci d'un peuple guerrier, Pug gagnera un statut social, et un nom : Milamber. Mais dans cette lutte de longue haleine, Pug, devenu le sorcier le plus puissant de Kelewan, le monde des envahisseurs, et Tomas, le nouveau roi des elfes, devront user des forces résidant en l'un, et maîtriser l'ambivalente nature de l'autre, pour pouvoir se défaire de l'Ennemi, cette entité maléfique plus ancienne que les civilisations qu'elle menace. 14€


Raymond E. Feist est né à Los Angeles en 1945 dans une famille d'origine lorraine émigrée aux Etats-Unis. En 1977, diplômé de l'Université de Californie, San Diego, et joueur acharné de jeux de rôles, il crée et plublie avec des amis Le Monde de Midkemia. Raymond E. Feist a écrit de nombreux ouvrages tels Faerie Tale, Silverthorn, A Darkness at Sethanon, Prince of the Blood. Auteur de référence dans le genre, avec un vrai talent de conteur, il nous conduit dans des aventures pleines de rebondissements et de suspense. Il a vendu plus de douze millions de volumes dans le monde.

 

DE L'HUILE SUR LE FEU

La collection De L'huile Sur Le Feu propose une chronique hétérogène de l'actualité brûlante, écrite par ceux qui ne se résignent pas à la glaciation capitaliste... Les historiettes et les coups de gueule s'y succèdent comme autant de rafales incendiaires sur le brasier des colères.

 

# 1 : T.N.T., Alexandre Dumal, Coll. De L'huile Sur Le Feu, L'insomniaque,16p.

Mai 2003 : Et boum ! V'là que s'avance une drôle de Troupe de Non Travailleurs... 1€

 

# 2 : QUAND LA VILLE TREMBLE, Jack Malt, L'insomniaque,24p.

Juin 2003 : Alors que, trahis par les syndicats, vilipends par les médias, méprisés par les gouvernants,usés par les mois sans salaires, les grévistes doivent battre en etraite, v'là notre drôle de Troupe de Non-Travailleurs qui s'en mêle et souffle sur les braises... Rien n'est fini ! 1€


# 3 : DEMAIN LE CHAOS, Le Temps des Barbares, Jean-Pierre Bastid, L'insomniaque,24p.

Septembre 2003 : Pendant que là-bas, en Amérique, Tintin et Calamity faisaient leur road movie, ici, des milliers de cadavres de vieillards, crevés de chaleur, s'empilaient dans les frigos.Sans la moindre perte dans les rangs, qui au contraire vont toujours grossissant, de la Troupe des Non Travailleurs...1€

 

# 4 : ICI ET AILLEURS, PARIS-THESSALONIKI, Jaime Rastopoulos, 26p.

Octobre 2003 : "Au cyanure, J'vous dis ! J'y étais, à Thessalonique. Au cyanure, qu'ils sont, leur gaz" lance un furieux à l'agora.Gaz, ça vient du grec Khaos, l'abîme..."Et y en a sept d'entre nous toujours en zonzon, j'vous signale." On va en parler dans la gazette de la Troupe des Non-Travailleurs. 1€

 

# 5 : LES CHEMINS DE TRAVERS, Madeleine Morel, L'insomniaque, 24p.

Novembre 2003 : "Et si vous travailliez, que vous gagniez de l'argent, est-ce que vous paieriez vos billets de train, Mademoiselle ?" Question absurde ! Si je travaillais, je n'aurais plus le temps de voyager à mon gré, comme la...Troupe des Non-Travailleurs 1€


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